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LE PNEUMOPHÈNE

ou la respiration qui ouvre les portes de l’au-delà

Le phosphène est la tache lumineuse subjective qui persiste en obscurité pendant trois minutes après avoir fixé une source lumineuse, durant une trentaine de secondes. Le Mixage Phosphénique consiste à associer au phosphène une pensée, préparée à l’avance. Les effets sur l’attention, la mémoire, l’intelligence et l’esprit d’initiative sont considérables.

Il existe des équivalents des phosphènes dans tous les organes des sens, ce qui permet de répéter l’opération « Mixage » à tous les niveaux et en particulier, à celui des sensations fines dues à l’acte respiratoire, si primordial.

Observer un phosphène, c’est tourner son attention vers un phénomène intérieur pendant que l’on diminue la lumière extérieure. On ressentira un « Pneumophène » par un mode respiratoire provoquant un léger manque d’air mais supportable et même, agréable, pendant toute la durée de l’exercice, soit environ vingt minutes ; ceci, quel que soit le mode respiratoire choisi qui, dans cette méthode, est secondaire. La « Respiration spirituelle » commence lorsqu’on associe une pensée à cette respiration avec légère soif d’air permanente. Alors seulement, on perçoit le fameux « prâna » des Hindous, ou « Souffle de l’Esprit ». Les effets sont parallèles à ceux du Mixage Phosphénique mais sur un plan beaucoup plus profond, en rapport avec l’origine de la vie.

Dans la deuxième partie de cet ouvrage, est exposée la pratique de la pensée rythmée à l’aide d’un métronome, ce qui augmente immensément le dynamisme cérébral, par libération d’énergies de synchronisation correctement dirigées. Cette technique présente un intérêt pédagogique considérable. De plus, en choisissant des exercices mentaux appropriés, elle provoque très facilement le phénomène que le Yoga nomme « Koundalini », c’est-à-dire un puissant tourbillon dans l’imagination visuelle, avec les effets qui en découlent, tous très bénéfiques, si on suit les conseils donnés dans ce livre.

La première phase du phosphène étant d’une belle teinte verte proche de l’Emeraude, cette pierre le symbolisait. Ainsi, était dissimulé l’usage ésotérique du phosphène et ses rapports avec l’origine du Christianisme chez les Cathares et dans la légende du Graal.

Ce Mixage Phosphénique constituait le cœur (plus exactement le « nombril », « l’omphalos ») des mystères d’Eleusis et du culte d’Apollon en Grèce antique. Or, rien de plus facile que de passer soi-même par ces auto-initiations, en suivant le fil d’Ariane du sentiment d’évidence accompagnant les révélations que l’on reçoit par la prière libre, celle que l’on s’invente soi-même, associée à la fixation du Soleil levant.

LE PNEUMOPHENE, est un livre particulièrement utile, à consulter régulièrement. Le Dr LEFEBURE y indique la meilleure façon de respirer, les rythmes qui favorisent le dédoublement et tous les effets bénéfiques que l’on peut retirer d’une respiration maîtrisée : stimulation de toutes les qualités intellectuelles, illumination, solution de problèmes, transmission télépathique, clairvoyance, sérénité… pour n’en citer que quelques-uns.

Ceux qui ont déjà lu des ouvrages consacrés au pranayama trouveront ici des explications très convaincantes et des exercices nouveaux comme la respiration circulaire qui, offrant une infinité de centres de symétrie, est de loin la respiration la plus spirituelle. Etudiant l’analogie entre la pensée et le courant électrique pulmonaire, le Dr LEFEBURE indique le mouvement du point de concentration, le rythme et le mantra qui optimisent les effets de cette respiration.

Pour que la respiration ait des effets sur le plan initiatique, il faut introduire un rythme et entretenir une légère soif d’air. Ceux qui ont fait du yoga savent que les exercices de respiration (ou pranayama) sont très importants et qu’ils se caractérisent par des rétentions plus ou moins longues. Le Dr LEFEBURE a pu établir quels étaient les exercices les plus utiles pour l’initiation et quelle était la meilleure façon de les effectuer.

Pour lui, le rythme respiratoire le plus parfait est celui qui offre le plus d’axes de symétrie : la respiration circulaire. Une fois la respiration maîtrisée, vous y ajouterez une pensée. Vous vous représenterez un point lumineux qui tourne au niveau du thorax (chakra du cœur).

Dr Lefebure : Depuis ma rencontre avec mon Maître zoroastrien, à 18 ans, Arthème Galip, c’est presque quotidiennement que j’ai pratiqué longtemps des exercices, parmi ceux que je vais exposer.

C’est donc après presque une vie entière d’expériences et de recherches que je me permets de déposer mes conclusions sur ce qui rend la respiration spirituelle, ce qui fait d’elle un mode d’accès facile vers la perception de l’autre monde.

Dans ce livre :
QUATRE CONDITIONS CONTRIBUENT À RENDRE LA RESPIRATION SPIRITUELLE.
LES DEUX PREMIÈRES SONT FAVORISANTES.
LA SIMULTANÉITE DES DEUX DERNIÈRES EST ABSOLUMENT NÉCESSAIRE.
SANS L’ASSOCIATION INTIME DES DEUX DERNIÈRES CONDITIONS, IL NE PEUT PAS Y AVOIR DE RESPIRATION SPIRITUELLE.

Également, entre autres dans ce livre :

Stimulation de la solution des problèmes durant le sommeil

Voici maintenant un effet très important car il possède une grande portée pratique. Chacun sait que si l’on s’endort en pensant à un problème, il arrive que la solution vienne à vous comme d’elle-même, le matin au réveil. Néanmoins, pour connu qu’il soit, ce phénomène ne survient que rarement au cours d’une existence. Or, si l’on pratique l’exercice de la sphère pulsante en rythme avec le métronome en s’endormant, tout d’abord, on remarquera qu’il favorise plutôt la venue du sommeil mais en tout cas, ne le gêne pas. Mais surtout, après quelques semaines d’essais, on est surpris de constater que souvent au réveil, surgit la solution d’un problème auquel on a pensé, non pas en s’endormant mais dans la journée.

Le nombre d’expériences qui surviennent ainsi est incomparablement plus grand que sans cette pratique durant l’endormissement. Le travail subconscient du cerveau durant le sommeil est augmenté en qualité et en quantité car les solutions qui surviennent ainsi sont, en général, très bonnes. De plus, cette activité cérébrale durant le sommeil ne diminue en rien la qualité du repos et n’entraîne aucune fatigue. Au contraire, l’idée nouvelle qui surgit est accompagnée d’une sensation de bien-être.

Télépathie phosphénique avec les animaux
Plusieurs de nos élèves ont remarqué que si l’on projette le phosphène sur les naseaux d’un chien qui dort, il se réveille. D’après ces expérimentateurs, l’expérience ne réussirait pas en le projetant sur une autre partie du corps. L’extrémité sans poil du nez du chien serait une région particulièrement sensible à cette projection. (…)

Hydrothérapie et Phosphénisme
(…) on observera que si l’on est sous une douche assez chaude, que l’on fait couler l’eau tout le long de la colonne vertébrale à partir de la nuque, l’eau coulant donc en regard de la chaîne des ganglions nerveux sympathiques para-vertébraux, le débit étant réglé de telle sorte que l’on perçoive bien la descente de l’eau sur la peau, il est alors très facile de s’imaginer un courant lumineux ascendant à l’intérieur du corps. Il y a complémentarité entre la sensation de descente physique et celle de montée en esprit. (…)

Dr F. LEFEBURE

TABLE DES MATIÈRES (petit extrait)

Première partie

TRADITION SUR L’ASPECT SPIRITUEL
DE LA RESPIRATION.

Chapitre I
CONDITIONS FAVORISANTES
DE LA RESPIRATION SPIRITUELLE
A) Respiration complète.
B) Pratique de la respiration complète.
1) Bonne respiration.
2) Mauvaise respiration.
3) Ordre de remplissage du poumon.

DEUXIÈME CONDITION DE
LA RESPIRATION SPIRITUELLE
A) Respiration tendant vers un rythme circulaire.
B) Etude de chaque rythme.
1°) Rythme triangulaire isocèle.
2°) Rythme rectangulaire.
3°) Rythme triangulaire équilatéral.
4°) Respiration carrée.
5°) Respiration circulaire.
6°) Respiration elliptique.
7°) Respiration superficielle.

Chapitre II
CONDITIONS INDISPENSABLES DE
LA RESPIRATION SPIRITUELLE
I – Légère soif d’air.
II – Parallélisme entre légère privation d’air, jeûne et Phosphénisme.
Mixage dans le pneumophène.
A) Amélioration des relations sociales.
B) Interprétation des rêves dans le pneumophène.
C) Applications pratiques.

Chapitre III
BUT DES LONGUES RÉTENTIONS D’AIR DU YOGA

Chapitre IV
LA RESPIRATION CYCLOGÈNE.

Chapitre V
LA VANNERIE, SYMBOLE DE DIEU.

Deuxième partie

LE PHOSPHÉNISME ET LA VIE

Chapitre I
LE PHOSPHÉNISME DANS LA VIE.
A) Exercice mental de la sphère pulsante.
B) Dédoublement spontané par la sphère pulsante.
C) Libération d’énergie par la sphère pulsante.
D) Une pensée d’une régularité de métronome.
E) Évolution spontanée du thème de visualisation.
F) Effets a posteriori des pensées polarisée rythmées sur le métronome.
G) Cycle cosmique et cycle mental.

Chapitre II
LE SENTIMENT D’ÉVIDENCE AU COURS DU
MIXAGE PHOSPHÉNIQUE
A) Sentiment d’évidence et balancement du phosphène.
B) Sentiment d’évidence et « cristallin cérébral ».
C) Le court-circuit de la fonction chlorophyllienne

D) Le fil d’Ariane du sentiment d’évidence lors de la purification progressive.
E) Le rejet de la greffe mentale.
F) Croissance infinie de l’esprit et des végétaux.
G) Un cas de développement par le Phosphénisme spontané.
H) Un cas de purification de l’âme par le Phosphénisme.
I) Orage cérébral et « éclair de génie ».
J) Fixation du soleil et répétition du « OM ».
K) Soleil et vagues.

Chapitre III
L’INITIATION PAR IMPOSITION DES MAINS
A) Chez les Zoroastriens.
B) Chez les pratiquants du Phosphénisme.
C) Une expérience qui la prouve.
D) Pouvoir d’initier et hérédité des caractères acquis.
E) Dangers des déformations d’instinct par des traditions.
F) Sentiment d’identification.
G) La fausse quatrième dimension.
H) Télépathie phosphénique avec les animaux.
I) Les balancements chez les primates.
J) Effets opposés du Phosphénisme et des drogues.
K) Une drogue hallucinogène : l’hyperpnée.
L) Le temple du feu à Bombay.

Chapitre IV
LA VISION DE L’ULTRAVIOLET DANS LE PHOSPHÈNE.
La perception de l’ultraviolet au cours de l’initiation zoroastrienne.

Chapitre V
LES FLAMMES QUI BRULENT SANS CONSUMER ET LE TOURBILLONNEMENT DU CO-PHOSPHÈNE SOLAIRE.
A) Le buisson ardent de Moïse.
B) Le torrent de flammes dans l’initiation zoroastrienne.
C) La « Nuit du Saint-Esprit » de la mystique de Neuves-Maisons.
D) Traditions hébraïques sur la danse du soleil.
E) Danses du soleil et roues solaires celtiques.

Chapitre VI
LES CATHARES PRIAIENT-ILS EN FIXANT LE SOLEIL ?
Le château de Montségur, temple solaire.

Chapitre VII
MYSTÈRES D’ÉLEUSIS ET PHOSPHÉNISME.

Chapitre VIII
LA MONTÉE DE KOUNDALINI PAR
LE MIXAGE DANS L’OSTÉOPHÈNE.

Chapitre IX
HYDROTHÉRAPIE ET PHOSPHÉNISME.

Chapitre X
CLASSIFICATION ET ORDRE DES EXERCICES DE L’ENSEMBLE DE NOTRE MÉTHODE.

Note de l’Éditeur :

C’est un livre en deux parties. La première partie porte sur l’analyse et la classification des exercices de respiration pratiqués dans le Yoga traditionnel. Elle permet de comprendre quelles sont les respirations qui donnent l’accès aux plus hautes facultés spirituelles.

La deuxième partie traite de l’Initiation. Le Dr LEFEBURE nous donne beaucoup d’informations sur les formes différentes que peut revêtir l’initiation. Il y indique également comment pratiquer la pensée rythmée. Le premier chapitre traite aussi des applications du Phosphénisme à la vie de tous les jours.

Avis du lecteur :

Docteur Daniel GEOFFROY (chercheur en neurosciences) : Un livre indispensable pour tous ceux qui s’intéressent à l’initiation et qui veulent avoir des informations précises sur les meilleurs cycles de respirations et les meilleurs techniques conduisant à un éveil.

Jean Jacques FOURNIER (Maître de Yoga) : Un ouvrage qui met le pranayama à la portée de tous et qui montre ses effets sur l’intelligence, la créativité, l’équilibre émotionnel… Un livre précieux, à placer en tête de sa bibliothèque.

 


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