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TÉMOIGNAGES

DANSE DU SOLEIL

Extraits du LIVRE D’OR
DANSE DU SOLEIL

LA DANSE DU SOLEIL EST UN ENSEMBLE DE
PHÉNOMÈNES PHOSPHÉNIQUES

Depuis que je pratique le Phosphénisme en fixant le soleil le matin avec une pensée, après une heure de pratique, je ressens dans ma colonne vertébrale une joie intense dans tout mon corps !
Je vois bien que le soleil associé à une pensée a un impact !
J’attends donc chaque matin que le temps soit ensoleillé afin d’associer ma pensée à la lumière !

Christophe B.


C’est souvent l’environnement du soleil qui tourbillonne mais parfois aussi, quoique très rarement, c’est le soleil tout entier. Par contre, lorsque ce dernier phénomène se produit, le tourbillonnement ne part jamais du centre du soleil mais est toujours précédé par un point qui semble tourbillonner à sa périphérie, pour se propager vers l’intérieur soit brutalement, soit progressivement.
Vendredi soir, aux environs de 19 h, je rentrais chez mes parents en voiture. Le soleil allait bientôt se coucher et était tout rouge, donc absolument pas éblouissant. Je le regardais de temps à autre lorsque la conduite de ma voiture me le permettait. À un moment, je le vis tourbillonner une seconde dans un sens, une seconde dans l’autre. J’ai essayé de voir quel effet avaient les exercices physiques pendant la fixation du soleil : tensions musculaires statiques, balancements latéraux et antéro-postérieurs de la tête, rotations de la tête, rotations rapides et jetant le menton à droite puis à gauche. Aucun de ces exercices n’a donné de résultats positifs mais ils semblaient, au contraire, tout embrouiller.

J’avais, par contre, envie de balancer le haut de mon corps, sur le rythme d’une seconde dans un sens, une seconde dans l’autre, c’est-à-dire en synchronisme avec le soleil. J’ai donc effectué ce balancement d’amplitude assez réduite, environ 15 à 20 centimètres de part et d’autre de l’axe du corps. J’ai alors trouvé cet exercice très agréable et la rotation de l’environnement du soleil semblait entretenue par ces mouvements.

M. Raymond R.


Après avoir fixé le lever du soleil pendant une minute, j’ai regardé un point lumineux à sa périphérie. Puis, je me suis balancé du haut du corps, une seconde dans un sens, une seconde dans l’autre, suivi du point de concentration qui faisait le tour du soleil.
À l’arrêt du mouvement, je fixe un point rouge tournant à côté du soleil. Celui-ci me paraît s’obscurcir, puis devenir blanc, enfin rouge. Il y a autour comme un nuage. Une auréole blanche tourne à la périphérie du soleil, ce qui provoque un sursaut du soleil. Ensuite, je vois un croissant de la couleur rouge qui apparaît sur le côté du soleil, se balance et s’échappe vers le haut du soleil. Je vois 5 taches rouges espacées qui paraissent de la grosseur d’un ballon de football, puis je perçois un sifflement d’oreilles.

Mon impression était d’être en relation avec « l’extérieur » et qu’une voix avait envie de me parler.
J’ai oublié de vous dire que lors d’un exercice fait au soleil couchant, j’ai vu autour de lui une grande lumière jaune qui apparaissait toutes les secondes ; sur la crête de la montagne, sur une grande distance, il y avait aussi une lumière qui me paraissait un peu rougeâtre et montait à environ deux mètres de haut. Ce sont des exercices admirables et je sens que le soleil me fortifie le mental.

M. André M.


DES PHÉNOMÈNES MÉCONNUS :
LES PRODIGES STELLAIRES

Je ne pratique les exercices de balancements du point de concentration que depuis peu de temps et le vocabulaire permettant de décrire mes impressions me fait un peu défaut. Je vais donc m’efforcer de m’exprimer le plus clairement possible.
Il faisait nuit dehors mais l’intérieur était rempli d’une clarté opaque qui permettait de distinguer le contour des objets. Par la baie vitrée, j’apercevais les étoiles et en particulier, l’éclat de l’une d’entre elles, la plus grosse. Au bout d’une heure, j’entrevis des taches claires qui se mouvaient au milieu de la pièce. J’observai le rideau de gaze qui ondulait légèrement et attribuai aussitôt les taches en mouvement à ces ondulations. En fait, les taches s’agitaient de plus en plus et le rideau était dans une immobilité parfaite. Je fermai les yeux pour chasser ces visions et lorsque je les rouvris, les « ombres » étaient au-dessus du lit.

Mes yeux se tournèrent alors vers l’étoile et celle-ci m’apparut, à travers la gaze du rideau, avoir la forme d’une croix dont les branches étaient en pointes, avec un cercle au centre. Je ne me serais pas étonné outre mesure si, après l’avoir contemplée un bref instant, je n’avais vu briller un point lumineux au plafond de la chambre. Ce point lumineux ne ressemblait en rien à un phosphène. Il était semblable au point de concentration qui s’impose à mon esprit et je pouvais reporter mon regard sur les murs ou sur tout le plafond : le point lumineux restait toujours dans mon champ visuel. Les formes qui se mouvaient dans la pièce étaient maintenant très rapprochées de moi. De violents frissons me parcouraient le corps et je n’arrivais pas à les dominer.
Je fis alors cette prière muette : si vous êtes des âmes errantes, si vous cherchez le chemin de la vérité, si vous aspirez à vivre dans la Lumière de Dieu, regardez ce point lumineux au plafond, symbole de l’infiniment petit et de l’infiniment grand, et vous trouverez le chemin qui mène à lui. Aussitôt, le point se mit à tourner en spirale dans ma direction, tout en grandissant. La lumière phosphorescente me traversa et je fus inondé d’un bonheur intense. J’eus l’impression que mon corps flottait dans le vide, au-dessus du lit. (…) Puis, je revoyais en pensée la lumière qui m’avait inondé.

Je ressentis bientôt le besoin de fermer les yeux. C’était plutôt comme une voix, venue non de moi-même mais de ces esprits, qui me suggéra de fermer les yeux.

M. Richard S.


Le 28 août à 21h30, j’étais dans le jardin, assis sur un pliant. Le ciel était bleu étoilé et je faisais l’exercice de concentration suivant : faire monter des étincelles depuis le périnée, puis visualiser une lumière jaune s’élevant jusqu’en haut du thorax ; ensuite, des étincelles qui sortent par le sommet du crâne et se répandent dans le cosmos en formant un grand cercle.

Pendant que je faisais cet exercice, mon regard était fixé vers le ciel bleu étoilé. Au moment où les étincelles s’installaient dans le plan cosmique, une étoile s’est détachée du ciel, sur ma gauche, pour venir dans ma direction, c’est-à-dire en face de moi, mais loin de moi. Cette étoile a explosé en fournissant plusieurs couleurs : vert, rose et jaune, ce qui formait un cercle sur un diamètre d’environ trois mètres cinquante. C’était la première fois de ma vie que je voyais une telle chose. Cela m’a fait très plaisir et mon impression, sur le moment, était comme si on me demandait de travailler avec le cosmos

M. André M.


…J’ai fixé une étoile, une belle étoile. J’ai très vite remarqué qu’elle était différente des autres. Elle semblait briller davantage et mes yeux ne la quittaient plus. Tout à coup, elle sembla se rapprocher de moi et reprendre sa position initiale selon un rythme bien particulier (Il m’est impossible de décrire le phénomène avec plus de précision). J’ai abandonné la fixation lorsqu’elle m’apparut encore beaucoup plus grosse, me donnant l’impression étrange de s’approcher de la terre considérablement et très vite.

Joseph S.


Ce que j’aime le plus, c’est pratiquer l’exercice « pensée au 6ème de seconde » face au soleil MAIS les yeux fermés. Ou alors, comme l’avait montré Daniel Stiennon, au travers d’un mouchoir. L’association phosphènes solaires et pensée au sixième de seconde, m’a permis d’obtenir des contacts avec ce que certains appelleraient « extraterrestre ». C’est incroyable le nombre de personnes qui n’ont pas encore compris que les extraterrestres sont la création de notre « phosphore cérébral » ou « lueur diffuse » provoqué par l’intensification de la pensée grâce aux phosphènes. Et pour cela pas besoin de regarder le soleil, un ciel lumineux est suffisant.

Pris sur Forum (alias Soleil-Phosphenes)